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  • Photo du rédacteurLyse Williams.

Saga éléments de Brittainy C. Cherry.


J'ai commencé cette saga en 2017, avec The air He breathes, mais j'ai lu 3 tomes cette année. Alors retour sur une saga envoûtante et fichtrement bien écrite !


- Je ne pense pas avoir jamais lu une ligne de ce que vous avez publié. (...) - Ce n'est pas grave, répondit Graham. Il y a suffisamment de gens qui l'ont fait pour que votre ignorance n'entame en rien mon succès.

La première chose qui m'a fait succombé, ce sont les couvertures, que je trouve magnifique. J'apprécie aussi énormément le rapport au 4 éléments et l’écriture de cette auteure, qui est fluide et émotionnellement percutante. Quant aux intrigues, hormis un second tome qui m'a moins convaincus, tous les autres sont des coups de cœur....


Emma, Bubba et moi partîmes donc en ville, elle chantant sa propre version de la chanson de La reine des neiges, moi m'arrachant les cils, et Bubba silencieux comme un gentil animal en peluche.

The air he breathes est le premier opus de cette saga, et autant dire que l'auteure frappe fort. Avec son écriture poétique, ses personnages forts, matures et drôles, elle nous livre une romance douloureuse et intense. Le gros point fort de ce tome, est à mon sens, la maturité des personnages, loin des jeunes adultes des romance traditionnelles de Hugo Roman, The air he Breathes nous offre deux trentenaires, et pour moi c'est une petite révolution !


Les filtres, c'est bon pour les cigarettes, pas pour les humains, Liz.

The fire, est pour moi, la petite déception de cette saga. D'abord à cause de la couverture, que j'ai trouvé moins travaillé, ensuite à cause du titre, qui n'est pas harmonieux avec les 3 autres et enfin à cause de l'intrigue, que j'ai trouvé agréable mais pas mémorable. Je ne vais donc pas m'étendre sur tome.


Logan avait une façon bien à lui d'aimer une personne. En silence, presque en secret.

The silence water, troisième lu de la saga, m'a chamboulée. Si l'intrigue et la romance ne sont pas originales, autant le dire, la force de cette saga, c'est la plume de son auteure, tout en délicatesse et émotion. Les personnages sont travaillés, qu'ils soient principaux ou secondaires. Ils participent tous au succès de ce tome et finalement ils apportent quelque chose à cette intrigue. Cet opus m'a beaucoup rappelé un certain "Tes mots sur mes lèvres" mais avec assez de différence pour apprécier totalement cette lecture !


C'est stupéfiant de constater qu'un cœur peut voler en éclat dans une pièce pleine de monde sans que personne n'entende le moindre bruit.

Enfin The gravity of US a clôturer magistralement cette saga. Dans ce roman j'ai été heureuse de voyager avec Lucy, baba cool, intense, belle, et profondément bonne. C'est un personnage comme on en voit peu, humain et touchant, mais clairement pas autant que Graham... qui est ma révélation de la saga, et qui parvient même à détrôner Brooks (T3) dans mon cœur ! Ce personnage est juste magnifique. Ce n'est pas un Badboy, juste un homme brisé, terriblement attachant et forcément ça fonctionne sur moi !

L'histoire est belle, et s'il y a beaucoup moins de suspense et d"intrigue que dans le tome The silent waters, ce n'est en rien dérangeant. L'auteur nous livre là une histoire entièrement basé sur l'émotion, le ressentie et elle le fait à merveille ! Quant a la petite révélation finale, on l'avait tous vu venir non ? Alors bon, c'est horrible, mais cela n'entache en rien le livre !


Elle portait son cœur en écharpe, alors que le mien était bouclé par des chaînes métalliques tout au fond de mon âme.

Alors oui, la saga éléments est un coup de cœur. Avec ses émotions intenses, ses personnages travaillés et cette écriture bien particulière qu'a l'auteure, ce ne pouvait-être qu'une réussite.

Une saga que je recommande, sans hésiter. Une saga que je prête régulièrement et qui conquiert le cœur de chaque lecteurs qui la découvre !


Bonne lecture à tous.



- Si tu quittes ma sœur à cet instant, ce 'est pas la peine de revenir. Ce n'est pas la peine de téléphoner quand tu auras trop bu ni de passer quand tu seras triste. Quand elle aura vaincu ce cancer - ce qu'elle va faire, tu peux me croire -, ne t'avise pas de revenir en prétendant l'aimer. C'est compris ? - Oui. C'était le même mot qu'il avait employé pour promettre à Mari de l'aimer tous les jours de sa vie, dans la santé et dans la maladie. Ce mot était, maintenant et à jamais enseveli dans la douleur et les mensonges répugnants.
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